Echanger.

(Débattre sur la reconnaissance juridique de l'Homme à venir ?)

Consensus omnium (Prouver par le consentement universel) :

Elle avait l'urne de la contestation dans ses bras. Un papier, une contestation, repose-t-elle au fond de l'urne ? Un papier pouvant rassurer en justifiant que celui dont on s'est permis de disposer n'est effectivement pas à considérer ?

Elle avait l'urne dans ses bras et elle posait la tête sur l'urne, pensive, s'affirmant que l'urne était vide. Elle était la Justice, elle était chacun de nous.

"On ne doit pas critiquer le raisonnement car le résultat déplaît ; on ne peut que critiquer le résultat si le raisonnement déplaît"

Tout propos doit pouvoir être contesté. Une pensée ne saurait être exposée et ne pas être sujette à débat. Cette page est ce lieu offert à chacun pour échanger sur ces pages.

Attention ! Il est un point à bien préciser car, comme toujours, deux types de réactions peuvent être : la recevable car fondée et l'irrecevable car infondée.

Etant nombreux à avoir privé l'enfant à venir d'être en recourant à un avortement, nous sommes nombreux à ne pas vouloir entendre, à vouloir même faire taire, tout propos qui dépeindrait cet acte comme nullement innocent. A la simple évocation d'une position opposée à l'avortement, il est ainsi possible de supposer que nombreux seront ceux qui ne penseront qu'à insulter et vilipender, instinctivement et gratuitement, ce site. Une telle attitude est clairement irrecevable.

On ne critique pas un raisonnement car son résultat déplaît. Tout au contraire, si son résultat déplaît, on se soucie du raisonnement, et c'est seulement si le raisonnement témoigne d'une faille, qu'il est alors possible de contester son résultat. Toute remarque faite uniquement en raison du résultat et non pas sur le raisonnement sera donc qualifiée d'« infondée » ou pour reprendre la tournure d'une expression juridique fameuse, il sera dit qu'elle présente un « défaut de base logique ».

Tout ce site tourne autour de l'Homme à venir. Il dit que cet Homme est à considérer. Tout se joue donc sur ce point, sur cette donnée, sur cet Homme. Ce point cependant peut-il être contesté ?

Tout ce site perd sa raison d'être si tel est le cas. Il fut imaginé une urne installée au coeur d'une Assemblée, lieu de l'expression populaire. Cette urne recevrait les contestations émises sur la considération à porter à l'Homme à venir, et il est à penser que chaque représentant du peuple ferait face tous les jours à cette urne et qu'il saurait, au fond de lui, qu'aucun papier ne peut y être inséré.

- Interroger sur l'Homme à venir :

"Il y avait un Homme, un enfant, sur la ligne du temps, et je disais : « Et lui, n'est-il rien ? » !"

A notre époque moderne et civilisée, personne ne saurait manqué d'être reconnu à la fois humainement et juridiquement.

Ce site dit pourtant qu'aujourd'hui encore l'Humanité manque de reconnaître l'un des siens, et que manquant de le reconnaître, elle ne manque pas d'en disposer. Ce site accuse l'Humanité de violer le Droit d'être de celui qui est à venir.

Une telle accusation n'a de sens que si celui qui est à venir est vraiment digne d'intérêt. La première fonction de cette association est alors d'interroger sur celui qui est à venir et de demander :

"Croyez-vous vraiment que l'Homme à venir est sans valeur ?".

Questionner sur l'Homme à venir :
On interrogeait. Lui, cet enfant à venir n'est-il rien, sans importance ? A-t-il une valeur nulle ?

Ou
est-il à considérer et à protéger comme n'importe quel Homme ?

- Inciter à agir pour l'Homme à venir :

"Rappeler au lecteur ses obligations en tant qu'humain face à une pensée qui parle en faveur d'un Homme"

La considération à porter à quelqu'un ne saurait dépendre de l'avis de chacun. Il n'y a pas d'arbitraire avec l'Homme. Dès lors, la réponse à cette question est soit "oui", soit "non".

Chacun se retrouve donc devant deux options : soit parvenir à prouver que l'Homme à venir est sans valeur. Dans ce cas, ce site et cette association perdent toute raison d'être. Soit ne pas parvenir à contester la valeur à attribuer à l’Homme à venir. Dans ce cas, une telle donnée est trop importante pour être abandonnée, laissée de côté, hors de la Connaissance humaine :

> Eclairer les autres sur la valeur de l'Homme à venir :

Il s'agit d'un Homme, la plus précieuse des entités. Si un Homme manque d'être considéré, davantage respecté, on ne peut rester sans rien faire. Valider la justesse de cette pensée, confirmer la préciosité de l'Homme à venir, dès lors nous oblige à intervenir, à parler, à agir afin que chacun de nous prenne conscience de la véritable valeur de cet Homme.

Aller vers vous, puis vous demander ensuite - attendre de vous - que vous alliez vers les autres, tel est l'esprit de cette association dont le maître-mot est : diffuser. Diffuser cette pensée car l'ignorance doit être combattue, et d'autant plus si elle touche à celui qui nous est le plus proche : notre propre enfant.

Accéder intellectuellement à l'Homme à venir :
Le Savoir s'échangeait, se partageait.

Chacun comprenait, découvrait, réalisait que la Considération de l'Homme à venir est inscrite en lui.
Adopter un regard nouveau sur l'Homme à venir :
Encore une fois, comme dans des temps passés, on accédait à un nouveau regard sur l'autre personne.

Chacun comprenait que celui qui n'existe pas encore est à regarder comme aussi précieux que celui qui existe.

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> Eclairer la loi sur la valeur de l'Homme à venir :

"Si un Homme est précieux, le Droit doit reconnaître cette préciosité"

Il est demandé de partager et de diffuser ce savoir auprès de chacun d'entre nous, ainsi qu'auprès des autorités juridiques. La loi est actuellement dans l'Erreur et il revient au peuple de l'en sortir. Il est une certitude : si celui qui est à venir possède un Droit dans cet ailleurs qu'est le coeur de chacun, un jour, la loi devra reconnaître ce Droit.

L'Humanité qui existe devra inscrire dans ses textes de loi le Droit d'être de cette Humanité qui n'existe pas encore et est à venir

Faire que la loi reconnaisse l'Homme à venir :
L'Humanité, soucieuse d'instaurer un monde respectueux de tous, sortait des ténèbres de l'Ignorance la reconnaissance juridique de l'Homme à venir.
1 : Exposition des données :